mardi 13 octobre 2015

Tonari no Kaibutsu


Synopsis

    Shizuku Mizutani est une lycéenne très sérieuse qui étudie d'arrache-pied et ne semble pas s'intéresser à autre chose, ni avoir d'amis.
    Un jour, elle se voit confier la tâche d'amener des polycopiés à son voisin de classe, absent depuis la rentrée. Mais voilà, ce premier contact avec Haru Yoshida va avoir plus d'impact que prévu dans son quotidien lorsqu'une relation pour le moins inhabituelle commence à se nouer entre eux. En effet, celui-ci s'imagine qu'ils sont d'ores et déjà amis.
Trailer


Avis d'Ignus 7/10

   ...BORDEL DE... oO

   Je crois que l'auteur est aussi fou que moi !

   Tonari No Kaibutsu est avant tout un joyeux bordel... L'histoire d'un psychopathe (ou sociopathe, dans son cas la nuance est subtile) qui décide de tomber amoureux d'une fille parce qu'au moins elle, elle est gentille avec lui (en réalité, elle a été obligée pour lui amener ses cours, étant donné qu'il sèche comme anorexique au soleil).



   Et donc de joyeusement démonter la gueule de tout ce qui s'approcherait un peu trop d'elle...
   Il finit par adopter un poulet qu'il appelle Nagoya en hommage aux éleveurs... lui met un collier à clous et lui construit une forteresse...

   Bon, arrêtons le synopsis, j'ai mal au crâne...
   Passons plutôt à mon avis proprement dit : Tonari est un animé de type Shôjo très frais, et fait pour plaire aux hommes (ce qui est rare dans cette catégorie). La romance est belle et bien présente et, bien que très chelou, reste assez... mignonne (je crois).

   L'humour est omniprésent, et toujours barré.
   Sur un plan personnel, j'ai adoré cette série que je classe parmi mes Shôjos favoris.


Avis de Mishakal 7/10

   Héhé c'est parti pour un shôjo bien sympathique ! Je suis difficile en shôjos donc quand j'en trouve un qui me plaît, autant en parler !
   On a Shizuku, une héroïne focalisée sur ses études qui se contrefout d'avoir des amis. Et Haru, un type barge qui a adopté un poulet. Bon disons-le clairement, son familier, Nagoya (en hommage aux célèbres poulets de Nagoya) est... drôle ! L'opening est pété de couleurs, l'anime mêle romance et slice of life sans être lourd (pas comme Clannad que j'ai décroché au bout de 5 épisodes, je suis patiente mais il y a des limites, surtout quand le graphisme est moche !) Hum ! Passons, c'était le coup de gueule du jour !

   Tonari no Kaibutsu assemble une romance insolite. Haru se déclare à Shizuku dès le début, ce qui la laisse indifférente et l'agace, elle veut étudier alors qu'il lui foute la paix. Je n'ai pas compris pourquoi elle le tient en laisse dans de nombreuses affiches. Peut-être que le manga est plus explicite sur cette relation dominante, car dans l'anime, elle ne le traite pas comme ça, c'est même le contraire. Haru l'agresse fréquemment, lui jette des trucs à la figure, se montre grossier et n'hésite pas à la plaquer contre un mur.



   Mais ce shôjo n'est pas niais alors un pouce bleu pour lui ! Oui j'ai déjà expliqué combien je hais les romances avec des coconnes. Grande fan de Fire Emblem (oui j'ai commencé Fates hier en Difficile avec Ignus car c'était son anniversaire, il fallait que je partage mon enthousiasme !) ; j'aime la logique (on a même regardé L'Effroyable Mariée en replay hier, depuis le temps qu'on attendait un nouvel épisode de Sherlock !).
   Olala je m'égare !
   Donc, Shizuku est plutôt intéressante, elle a une personnalité bien trempée. Même si c'est Nagoya le personnage le plus cool de l'animé ! Les autres romances ne sont pas spécialement captivantes. Mais ça n'en reste pas moins un shôjo très sympa !
Opening

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